conséquences lois de nuremberg
30.12.2020, , 0
Les lois de Nuremberg sont trois textes adoptés par le Reichstag à l'initiative d'Adolf Hitler, lors d'une session du parlement tenue à Nuremberg à l'occasion du septième congrès annuel du Parti nazi, le 15 septembre 1935 : . Le gouvernement du Reich allemand est guidé par l'espoir de pouvoir créer, par une mesure d'une rare portée, un cadre à l'intérieur duquel le peuple allemand serait en position d'établir des relations acceptables avec le peuple juif. En 1938, de nouvelles mesures anti-juives complètent les lois de … Ce procès a été suivi de nombreux procès annexes. Cette période marque également le début de la saisie des biens des familles juives et les premières déportations. Contrairement à la loi sur la restauration du fonctionnariat, le texte soumis à Hitler comporte expressément le terme de Juif, tout en ne définissant pas celui-ci[19]. De sorte que ce juif à 62 % a trois grands-parents juifs. Après la Seconde Guerre Mondiale, un certain nombre de cadres du parti nazi ont été arrêtés et traduits devant la justice en 1945-1946 au cours d’un procès d’une ampleur totalement inédite. Il avait été impossible de parvenir à une définition biologique de la race [...] et il avait fallu en conséquence recourir à la confession religieuse pour déterminer qui était de race juive. Hitler lance la mise au pas de la société allemande (Gleichschaltung) dès mars 1933. En son article 1er, la loi sur le drapeau du Reich[26] (Reichsflaggengesetz) dispose que les couleurs du drapeau sont le noir, le blanc et le rouge ; en son article 2, elle précise que le drapeau officiel porte l'emblème de la croix gammée (aussi appelée svastika), substituant de ce fait le symbole du parti nazi aux couleurs de la république de Weimar, dans le droit fil de la loi du 1er décembre 1933 qui scelle l'unité du parti et de l'État. Secondeguerre.net - Votre source d'information sur la guerre de 39-45 depuis 2003.Â. : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article. Logé au cœur de l'idéologie nazie depuis le début, il contamina des secteurs de plus en plus étendus de la société allemande et s'y introduisit de plus en plus loin, « la bureaucratie avait pris les choses en main, et ce fut le processus bureaucratique de destruction qui, pas à pas, aboutit finalement à l'annihilation de cinq millions de victimes, « En comparaison des sanglantes émeutes de 1938, la définition du Juif peut faire figure de mesure relativement anodine. La loi le plus importante de cette législation disait qu’il fallait séparer « biologiquement » les juifs du peuple allemand suite à cela les juifs allemands perdent leur nationalités, puis il y aura des lois sur les « protections du sang et de l’honneur allemands ». En réalité, elle était de beaucoup plus grande portée, car la définition de la victime constituait une condition préliminaire, indispensable à l'action ultérieure[49] ». La volonté du parti nazi de mettre en œuvre une politique antisémite radicale est largement antérieure à la prise du pouvoir de janvier 1933 et fait partie des fondamentaux idéologiques du nazisme. Après l'adoption des lois, les textes juridiques antisémites se raréfient afin de ne pas mettre en cause l'image de l'Allemagne dans la perspective des Jeux olympiques de Berlin ; cette pause législative et réglementaire ne freine en aucun cas les actions antisémites, notamment via l'aryanisation économique accélérée, les pillages et les actions individuelles violentes ou la poursuite de l'objectif d'une émigration totale des juifs allemands ou résidant sur le territoire du Reich[47]. La situation aurait été la même si la mère avait quitté la communauté juive avant la date limite. ». La loi sur la restauration de la fonction publique est suivie de nombreux autres textes visant à exclure les Juifs de la société : à partir de la fin du mois d'avril, les avocats non aryens peuvent être radiés du barreau[7] ; les médecins juifs sont exclus du système d'assurance maladie par un décret du 22 avril 1933, puis les dentistes et aides dentaires, le 2 juin[8] ; à l'initiative de Joseph Goebbels et via la création de la Chambre de la culture du Reich, le 22 septembre, les artistes juifs sont exclus du monde culturel et ne peuvent plus se produire que dans des manifestations destinées à des publics juifs[9] ; le 4 octobre, ordre est donné à la presse de congédier les rédacteurs en chef non aryens[9]. Les lois de Nuremberg « étaient loin d'être aussi simples et directes qu'une lecture superficielle pouvait le faire croire » et leur interprétation soulève de nombreux problèmes juridiques. Raul Hilberg insiste sur l'importance des législations antisémites dans la mise en place de la Shoah : « la bureaucratie avait pris les choses en main, et ce fut le processus bureaucratique de destruction qui, pas à pas, aboutit finalement à l'annihilation de cinq millions de victimes[48]. Elle conforte également la position de juristes nazis selon lesquels l'origine juive d'un conjoint, si elle est ignorée au moment du mariage, constitue un motif d'annulation de celui-ci, sur la base de l'article 1333 du Code civil[30]. Les lois de Nuremberg font des Juifs allemands des étrangers dans leur propre pays ; la loi sur la citoyenneté du Reich fournit la base des discriminations ultérieures visant à pousser les Juifs hors d'Allemagne et à isoler et discriminer ceux qui y restent[25]. Nuremberg et les lois NAZI Antisémites et Juifs au rendez-vous 7e rassemblement du NDSPA à Nuremberg, 1935 Le 15 septembre 1935 l’Allemagne Nazi appliquait les 3 lois de Nuremberg qui marqua le début d’une grande étape dans la persécution des nazis. À Munich, les troubles antisémites connaissent un regain de vigueur à partir du mois de mars, avec la participation de membres des Jeunesses hitlériennes ; le 25 mai, ils prennent la forme d'un pogrom, dont l'ampleur nécessite l'intervention de la police, qui arrête, parmi les émeutiers, des membres de la SS en civil[10]. Les deux parties sont donc coupabl… Tout en n'ayant aucun droit politique, ils demeuraient les « obligés » du Reich[24] ». Paradoxalement, Stuckhart, qui est le représentant de Frick à la première conférence de Wannsee, qui se tient en janvier 1942, objecte que l'application de la « Solution finale » est en contradiction avec les lois de Nuremberg en ce qui concerne les Mischlinge du premier et second degrés, et qu'un plan de stérilisation obligatoire pour cette population est plus dans l'esprit de ces lois. Il poursuit en proclamant que les lois proposées sont « une profession de foi pour les forces et les vertus de l'esprit germanique nordique » et que « tout gouvernement, et surtout le peuple lui-même, a le devoir de veiller à ce que cette pureté raciale ne puisse plus jamais s'étioler ou être corrompue[24] ». Que peut-on dire en outre, des enfants de ce mariage ? C'était absurde, mais cela ne fait que mettre en évidence l'absurdité de tout l'exercice. Voir également : le pogrom de la Nuit de Cristal et la rafle du Vélodrome d’Hiver. Elle prétend que ce dernier incarne la race ar… Ce site utilise des cookies à des fins de personnalisation de la navigation et de mesure d'audience. Cela veut dire que la personne intéressée doit jouir de capacité légale totale pour consentir : qu'elle doit être laissée Traductions en contexte de "lois de Nuremberg" en français-anglais avec Reverso Context : Les enfants désignés par les lois de Nuremberg sont exclus. Chargés de leur rédaction, Wilhelm Stuckart et Bernhard Lösener doivent tenir compte de la position des experts raciaux du parti nazi, Gerhard Wagner, Walter Gross et Kurt Blome, qui, à l'initiative de ce dernier, proposent de « reconnaître comme Allemands tous les « quart-Juifs » et de considérer tous les Juifs « à demi et aux trois-quarts » comme Juifs intégraux »[33]. Prenant la parole devant les membres du Reichstag vers 20 h, Adolf Hitler prononce un discours étonnamment bref[21], dont le sujet principal est le rôle qu'il attribue aux Juifs dans les tensions internationales et sur les provocations qu'il leur impute, provocations qui, selon lui, génèrent des plaintes de plus en plus nombreuses[23]. Please select Ok if you would like to proceed with this request anyway. Après le boycott des commerces juifs, voulu par Hitler, organisé par Julius Streicher et mis en œuvre par la SA, le 1er avril 1933[3], l'antisémitisme nazi connaît une première traduction dans l'appareil législatif du Troisième Reich via la loi allemande sur la restauration de la fonction publique du 7 avril 1933[4]. 1 – Avec l’effet au 1er janvier 1939, il est interdit aux Juifs d’exploiter des magasins de vente de détail, […] ainsi que [d’exercer] un métier à leur compte. Les lois de Nuremberg de 1935 suppriment la citoyenneté allemande aux juifs et leur interdisent d'exercer une profession libérale ou d'enseigner. Cette proposition n'est pas retenue par Reinhard Heydrich, l'opinion allemande n'étant pas favorable à une modification de ces lois, pas plus que le Führer[44],[45]. 1. You may have already requested this item. « Dès le 14 novembre, les droits civiques des Juifs furent annulés, leur droit de vote supprimé ; les fonctionnaires juifs encore en poste du fait de leur statut d'anciens combattants ou assimilés devaient obligatoirement se démettre[37]. Nommé « Congrès de la liberté », celui organisé en 1935 a pour objectifs de redéfinir le cadre de la citoyenneté et d’organiser la « protection du sang et de l’honneur allemands ». Le procès de Nuremberg. Confirm this request. Le 1er décret d'application de la loi sur la citoyenneté du Reich[35] établit une classification raciale complexe, qui divise les non-aryens en deux catégories, les Juifs et métissés de Juif (Mischling). Un mariage mixte contracté après la promulgation de la loi est considéré comme nul. Mi-juillet, c'est à Berlin, sur le Kurfürstendamm, que se produit une nouvelle explosion de brutalité. La notion de Juif est définie via le §5 du décret : « §5.1. Mais le mouvement n'est pas assez rapide pou… « Depuis la deuxième moitié de 1933, le parti nazi, mais aussi beaucoup de services du gouvernement central et de fonctionnaires demandaient l'interdiction du mariage et des relations sexuelles entre Juifs et non-Juifs, un statut de citoyenneté spécial pour les Juifs et l'accélération de leur exclusion de la vie économique[16]. ». Le 20 août 1935, le ministre de l'Économie, Hjalmar Schacht, organise une réunion afin de mettre en place un dispositif de lois antisémites qui puisse substituer un cadre juridique discriminant aux violences individuelles et aux initiatives locales ; les participants, dont le ministre de l'Intérieur Wilhelm Frick, le ministre de la Justice Franz Gürtner, le ministre des Finances de Prusse Johannes Popitz, le gauleiter et ministre de l'Intérieur de Bavière Adolf Wagner, et Reinhard Heydrich, qui représente la Gestapo et le SD, s'accordent sur l'emploi de mesures légales à l'encontre des Juifs afin d'appliquer les dispositions antisémites du programme du parti, et reçoivent l'aval d'Adolf Hitler[13]. ; La loi du 30 avril 1939 sur les "conditions de locations aux Juifs" a comme effet d'obliger la plupart des Juifs à déménager. Tableau de 1935 reprenant les définitions raciales découlant des lois de Nuremberg. Be the first. L'interdiction du mariage et des relations extraconjugales entre Juifs et citoyens de sang allemand ou apparentés concrétise juridiquement la volonté exprimée par les nazis, en 1930, de faire de la « trahison de la race » (Rassenverrat) un délit passible d'emprisonnement, voire de la peine de mort, volonté reprise, notamment par Roland Freisler, sous-secrétaire d'État à la Justice de Prusse, dans un mémorandum de septembre 1933. « En comparaison des sanglantes émeutes de 1938, la définition du Juif peut faire figure de mesure relativement anodine. N'achetez pas chez les Juifs ! L’article 1 er concerne le drapeau du Reich, dont elle précise les couleurs, qui sont le noir, le blanc et le rouge. Un mariage mixte contracté après la promulgation de la loi est considéré comme nul. Ils ne peuvent arborer le drapeau du Reich, mais sont autorisés à arborer les couleurs juives, ce droit étant garanti par l'État (article 4). Paradoxalement, en définissant le statut légal des Juifs en Allemagne, elles contribuent à donner à certains d'entre eux un sentiment de sécurité[25]. Les lois de Nuremberg ne concernent pas uniquement les juifs. Les trois textes de loi présentés au Reichstag, spécialement convoqué pour ce seul objet, sont approuvés par acclamation[25]. Ces lois raciales entendent distinguer le citoyen allemand comme celui « de sang allemand ou de sang apparenté, et qui fait preuve de fidélité auprès du peuple allemand ». En revanche, si le grand-père demi-aryen avait été chrétien par la naissance, il n'aurait pas été juif intégral et ne serait donc pas entré en ligne de compte dans ce calcul ; son petit-fils aurait été Mischling au premier degré[41]. La réussite tenait à l'effet de surprise, « une profession de foi pour les forces et les vertus de l'esprit germanique nordique », « tout gouvernement, et surtout le peuple lui-même, a le devoir de veiller à ce que cette pureté raciale ne puisse plus jamais s'étioler ou être corrompue, « qui accompagne son jugement d'une longue diatribe contre le nazisme et ses méfaits », « Hitler en fut tellement enragé qu'il décida sur-le-champ que le moment était venu de transformer la svastika en symbole officiel de l'Allemagne, « un citoyen du Reich est uniquement une personne de sang allemand ou apparenté et qui, à travers son comportement, montre qu'elle est à la fois désireuse et capable de servir loyalement le peuple allemand et le Reich », « Tous les autres, les Juifs surtout mais aussi tout opposant potentiel au régime et même ceux qui s'en distanciaient tacitement par leur manque d'enthousiasme pour sa politique, étaient relégués au rang de « ressortissants de l'État ». La réussite tenait à l'effet de surprise[22] ». Le mari - Mischling au premier degré - est donc considéré comme juif puisqu'il a épousé une femme considérée comme juive. A partir de 1935, les persécutions s'amplifièrent contre les Juifs, notamment la "nuit de cristal", du 9 au 10 novembre 1938, orchestré par les nazis, qui aboutit à le destruction de magasins juifs (d'où son nom), aux meurtres et à l'enfermement de Juifs dans des camps de concentration. Les trois lois sont publiées au Reichsgesetzblatt le 16 septembre 1935 e… Cette image montre une affiche de 1935 du journal antisémite Der Stürmer qui vient justifier l'interdiction des relations « interraciales » entre Juifs et non-Juifs, conformément aux lois raciales de Nuremberg. Il est également interdit aux Juifs d'avoir des employées de maison de sang allemand ou apparenté âgées de moins de 45 ans (article 3). ARCHIVES Dernier acte du procès de Nuremberg, le 1er octobre 1946, le Tribunal militaire international chargé de juger les crimes nazis commis durant la … C’est là que dix ans plus tôt, en 1935, le III e Reich promulguait les lois de Nuremberg : terreau de l’idéologie raciste et antisémite nazie. Nuremberg se fait oublier. En son article 3 1°, connu sous le nom d'Arierparagraph, cette loi dispose que les fonctionnaires d'origine non aryenne doivent être révoqués[a] ; le décret d'application du 11 avril 1933 précise qu'une personne est considérée comme non aryenne si elle descend de non-aryens, particulièrement de parents ou de grands-parents juifs[5]. §5.2. — Question : un homme a deux grands-parents juifs, une grand-mère aryenne et un grand-père demi-aryen : ce dernier est né juif et n'est devenu chrétien qu'ultérieurement. ». Mais Hitler veut que dans le cadre de relations extraconjugales, seul l'homme soit poursuivi[38]. Ils sont considérés comme juifs s'ils épousent un Juif[40]. La loi sur la citoyenneté du Reich permet au ministre de l'Intérieur Wilhelm Frick de renvoyer en moins de quinze jours les fonctionnaires d'ascendance juive restés en place grâce aux clauses d'exemption de la loi du 7 avril 1933 sur la restauration de la fonction publique[43]. Conséquences Interprétation et application des textes. En 1935, les lois de Nuremberg les privent de nombreux droits, ainsi que de la citoyenneté allemande. Les enfants de ce mariage sont en tout état de cause considérés comme juifs puisqu'ils ont trois grands-parents juifs (deux par la race, un par la religion). « La presse présenta les lois de Nuremberg comme une mesure de stabilisation qui aiderait les Juifs d'Allemagne à dissiper une bonne fois les incertitudes qui planaient sur leur statut et à vivre tranquillement [...] cela n'a pas empêché la loi de provoquer de nouvelles discriminations contre tous ceux qu'elle désignait officiellement comme Juifs[46] ». 1 citation < Page 1/1. ». », « Dès le 14 novembre, les droits civiques des Juifs furent annulés, leur droit de vote supprimé ; les fonctionnaires juifs encore en poste du fait de leur statut d'anciens combattants ou assimilés devaient obligatoirement se démettre, « étaient loin d'être aussi simples et directes qu'une lecture superficielle pouvait le faire croire, « Les généalogistes devinrent brusquement les experts les plus recherchés du pays et beaucoup d'Allemands se mirent à éplucher fébrilement les registres paroissiaux et autres archives officielles afin d'accumuler des preuves écrites de leur pureté raciale pour les annexer à leur certificat d'ascendance (, « La presse présenta les lois de Nuremberg comme une mesure de stabilisation qui aiderait les Juifs d'Allemagne à dissiper une bonne fois les incertitudes qui planaient sur leur statut et à vivre tranquillement [...] cela n'a pas empêché la loi de provoquer de nouvelles discriminations contre tous ceux qu'elle désignait officiellement comme Juifs, « À partir de septembre 1935, le principe de l'antisémitisme ne domina plus seulement la vie publique, mais aussi la vie privée. Pour Saul Friedländer, le fait que Hitler attende le dernier moment pour établir les versions définitives des textes résulte de sa méthode consistant à porter des coups soudains afin de déstabiliser ses adversaires et de les mettre devant le fait accompli : « Si la législation antijuive leur avait été soumise plusieurs semaines avant le congrès, les objections techniques des bureaucrates auraient risqué de freiner la procédure. Les trois lois sont publiées au Reichsgesetzblatt le 16 septembre 1935 et entrent en vigueur le jour de leur promulgation. La loi maîtresse de cette législation était que les Juifs devaient être séparés « biologiquement » du peuple allemand. Si les tribunaux ne peuvent pas poursuivre une femme allemande pour Rassenschande (« honte raciale », soit crime de race), ils s'efforcent dès qu'ils le peuvent de la condamner pour parjure. Un mariage mixte contracté après la promulgation de la loi est considéré comme nul. Ces lois interdisaient aussi toutes relations sexuelles entre Juifs et Aryens et l’embauche de personnel allemand de sexe féminin de moins de 45 ans par des Juifs. Les lois de Nuremberg font remonter la pression et donnent forme à l'antisémitisme hitlérien. Publication de la loi sur le drapeau dans le, Publication de la loi sur la protection du sang et de l'honneur allemand au. — Réponse : cet homme est juif selon les lois de Nuremberg, en raison du grand-père de confession juive ; ce grand-père est présumé juif intégral et cette présomption ne peut être contestée. Vers minuit, Frick revient d'une entrevue avec Hitler avec l'instruction de préparer quatre versions de la loi sur la protection du sang allemand, version entre lesquelles Hitler ne tranche qu'au moment de la séance du Reichstag du lendemain[21]. ». Si je n’étais pas tombée par hasard sur une photo de cette ville, je n’aurais jamais envisagé d’y aller. », « Les généalogistes devinrent brusquement les experts les plus recherchés du pays et beaucoup d'Allemands se mirent à éplucher fébrilement les registres paroissiaux et autres archives officielles afin d'accumuler des preuves écrites de leur pureté raciale pour les annexer à leur certificat d'ascendance (Ahnennachweis) [...] devenu un sésame indispensable pour quiconque souhaitait faire carrière dans l'administration, et même ailleurs[42]. Cette personne à 62 % juive est-elle Mischling ou juive ? Les lois de Nuremberg sont trois textes adoptés par le Reichstag à l'initiative d'Adolf Hitler, lors d'une session du parlement tenue à Nuremberg à l'occasion du septième congrès annuel du Parti nazi, le 15 septembre 1935 : Elles sont rédigées, dans la précipitation, sur instruction directe de Hitler et adoptées à l'unanimité par les membres du Reichstag. Il n'y a pas de Nuremberg du goût, il n'y a pas de criminel du goût, sauf quand ça tombe sous le coup de la loi. Auteurs de l'article « Lois de Nuremberg » : Loi de protection du sang et de l'honneur allemands, Un jalon de la politique antisémite du Troisième Reich, « Allemands ! ». Les lois de Nuremberg (en allemand: Nürnberger Gesetze, /ˈnʏʁnbɛʁɡɐ ɡəˈzɛt͡sə/[1] .mw-parser-output .prononciation>a{background:url("//upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/8/8a/Loudspeaker.svg/11px-Loudspeaker.svg.png")center left no-repeat;padding-left:15px;font-size:smaller}Écouter) sont trois textes adoptés par le Reichstag à l'initiative d'Adolf Hitler, lors d'une session du parlement tenue à Nuremberg à l'occasion du septième congrès annuel du Parti nazi, le 15 septembre 1935 : Elles sont rédigées, dans la précipitation, sur instruction directe de Hitler et adoptées à l'unanimité par les membres du Reichstag. En son §2.2, ce décret énonce qu'« est métissée de Juif la personne qui descend d'un ou deux grands-parents qui sont racialement des Juifs intégraux, sauf si cette personne est considérée comme juive sur la base du §5.2. 1. Les lois de Nuremberg inversèrent le processus d'émancipation selon lequel les juifs d'Allemagne étaient considérés comme membres de la société et citoyens à part entière. La loi sur la citoyenneté du Reich, mise en œuvre par un décret du 14 novembre 1935, et la loi sur la protection du sang et de l'honneur allemand participent de manière essentielle à la transposition de l'antisémitisme nazi dans l'appareil législatif du Troisième Reich.
Paris - Bruges Mappy, Ingénieur Aéronautique Salaire Maroc, Novotel Le Havre Centre Gare, Location Maison Quimper Le Bon Coin, Linvestissement Immobilier Locatif Intelligent Epub, Lettre Motivation Mcdo, Tacos Mont De Marsan Menu, Stade Briochin Instagram,
No comment