l'histoire de la tunisie avant 1956
30.12.2020, , 0
1975 : Habib Bourguiba fait modifier la constitution et devient président à vie.1978 : une grève générale tourne à l'émeute. 814 Av. 23 octobre : premières élections libres de l'histoire de la Tunisie. Le 16 juin, l'Instance supérieure indépendante pour les élections présente au président de l'assemblée ses propositions pour les dates des scrutins présidentiel et législatif, à savoir le 26 octobre pour les législatives et le 23 novembre pour le premier tour des présidentielles. Ce meurtre secoue l'opinion publique et déclenche de nombreuses manifestations dans tout le pays hostiles à Ennahdha, dont les bureaux sont brûlés et saccagés à Sfax, Monastir, Béja, Gafsa et Gabès[26], les manifestants demandant le départ du gouvernement ainsi que de la troïka au pouvoir en dénonçant leur incompétence. Juin 2008 : émeutes dans la région minière de Gafsa en effervescence depuis plusieurs mois. La crise fait près d'un millier de morts (essentiellement Tunisiens). En l'absence des accusés ou de leurs représentants, personne, à l'exception de quelques députés défendant la mémoire de Moncef Bey, ne tempère la violence du discours accusateur, n'en contredit le contenu ou ne conteste les faits invoqués. Après plusieurs jours de concertations, le chef du gouvernement finit par annoncer sa démission le 19 février 2013 ; Ennahdha désigne alors Ali Larayedh, ministre de l'Intérieur, pour lui succéder. Au printemps 2000, une crise politique est déclenchée par la grève de la faim du journaliste Taoufik Ben Brik (correspondant de La Croix). Malgré ces initiatives de la part du chef de l'État, des manifestations spontanées ont lieu le 14 janvier sur l'avenue Habib-Bourguiba à Tunis. « Les trésors de Ben Ali révélés au grand jour ». Ainsi voit-on l'opposition légale accéder à la Chambre des députés pour la première fois lors des élections législatives du 20 mars 1994 à la suite d'une réforme constitutionnelle réservant 20 % des sièges aux partis sans candidats élus dans le cadre du suffrage majoritaire (une clé proportionnelle est utilisée pour les 20 % de sièges réservés). Ainsi, au début des années 1990, plusieurs centaines d'islamistes sont condamnés à de lourdes peines de prison alors que d'autres s'exilent en Europe (notamment Rached Ghannouchi à Londres). . C'est l'aboutissement des revendications menées par le Destour, un parti fondé en 1920 par le cheikh Talhabi, et plus encore le Néo-Destour, un parti indépendantiste plus radical que le précédent, fondé en 1934 par Habib Bourguiba. Les meneurs du mouvement social seront condamnés à dix ans de prison.Décembre 2008 : un diplomate tunisien est condamné par la France à huit ans de réclusion criminelle pour complicité dans des actes de torture. C'est son Premier ministre Mohamed Ghannouchi qui devient le président par intérim, avant que Fouad Mebazaa ne soit proclamé le lendemain par le Conseil constitutionnel en sa qualité de président de la Chambre des députés. 27 février : sous la pression de la rue, le Premier ministre Mohamed Ghannouchi démissionne; il est remplacé par Béji Caïd Essebsi. Le 3 mars, le président par intérim donne un discours durant lequel il annonce l'élection d'une assemblée constituante qui doit rédiger une nouvelle Constitution. Le "Printemps tunisien" en 2011 a mis fin à tunisien, qui a mis fin aux 23 ans de tyrannie de Zine el Abidine Ben Ali. Avec le temps, j’ai rassemblé plus de 700 photos. Il n'est pas dit que saint Augustin était Tunisien par exemple. « Assassinats politiques : La Tunisie revient de très loin ». Retrouvez Histoire de la Tunisie contemporaine: De Ferry à Bourguiba 1881-1956 et des millions de livres en stock sur Amazon.fr. Les années suivantes voient avec peine se concrétiser les promesses d'ouverture démocratique. Commencé dans une atmosphère de libéralisme et de laïcisation de la société tunisienne, le long règne de Bourguiba s'achève ainsi dans une lutte sans merci contre la montée de l'islamisme menée par Zine el-Abidine Ben Ali, nommé ministre de l'Intérieur puis Premier ministre. Des sites préhistoriques datés du paléolithiquefinal (le capsien) ont été mis au jour en Tunisie près de Gafsa. Cette période est surtout marquée par l'irruption de la violence politique : le 18 octobre, le coordinateur de Nidaa Tounes à Tataouine, Lotfi Nagdh, est mortellement blessé à la suite d'une manifestation violente déclenchée par des membres de la Ligue de protection de la révolution[23] ; le 6 février 2013, Chokri Belaïd, un opposant politique, est assassiné en quittant en voiture son domicile du quartier d'El Menzah VI[24],[25]. Lors de la séance de l'assemblée constituante chargée de voter la confiance, plusieurs constituants s'opposent à ce gouvernement, accusant le cabinet de rassembler des partisans de l'ancien régime de Zine el-Abidine Ben Ali, et accusant aussi la ministre du Tourisme désignée de s'être rendue en Israël[32]. L’élection du 24 octobre 1999 est la première élection présidentielle pluraliste (trois candidats), quoique le président Ben Ali ait été réélu avec un score (99,44 %) comparable aux élections précédentes. Après cette déclaration, l'état d'urgence est décrété : le couvre-feu s'étend de 17 h à 7 h, les forces militaires sont présentes dans les rues et les attroupements en tous genres de plus de trois personnes sont interdits ; les forces de police et militaires sont autorisées à tirer si le besoin s'en fait ressentir. 9 février : le Sénat tunisien autorise le président intérimaire Foued Mebazaa à gouverner par décrets-lois, contournant ainsi le Parlement bicaméral hérité de l'ère Ben Ali. Des législations incitatives pour les investissements étrangers sont mises en place. Le soir même, Hamadi Jebali annonce, unilatéralement et sans consultation des partis politiques, sa décision de former un gouvernement de technocrates dont la mission serait limitée à la gestion des affaires du pays jusqu’à la tenue d'élections[28]. Le 12 mai 1964[15], les terres détenues par les colons français, et qui s'étendent sur près de 450 000 hectares[16], sont nationalisées. Sadri Khiari, « Les Tunisiens et la deuxième guerre du Golfe », Négociations entre le Front populaire et le Néo-Destour, Projet d'union entre la Tunisie et la Libye, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Histoire_de_la_Tunisie_depuis_1956&oldid=167869062, Article avec une section vide ou incomplète, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. « Meurtre d'un responsable de l'opposition : « un tournant grave » ». « Démission du gouvernement tunisien après la mort d'un opposant ». La nouvelle cité se développe rapidement devenant l'une des deux grandes puissances de la Méditerranée avec son grand rival romain. Khalifa Chater, « Changements politiques et exclusion lors de la décolonisation : le cas du Makhzen en Tunisie (1954-1959) », Original de la proclamation de la république (Archives nationales). En 1962 naît le « socialisme destourien » lorsque le Conseil national du Néo-Destour proclame l'adoption du socialisme. Après une période de « pause de réflexion », Bourguiba choisit Hédi Nouira, connu pour son opposition irréductible à la collectivisation, comme Premier ministre. Documentaire - Un Printemps 1956 - L'indépendance De La Tunisie - France 5. Les principales institutions tunisiennes sont « tunisifiées » comme la sûreté intérieure et extérieure, la magistrature, l'information, l'appareil diplomatique et l'administration. Cette décennie se caractérise par la priorité accordée à la rentabilité économique des investissements de l'État, au détriment du rendement social, ainsi que par une modification fondamentale au niveau du rythme d'accroissement de l'endettement extérieur (taux d'endettement par rapport au PIB passant de 21,8 % en 1962 à 45 % en 1981), l'industrie comptant de plus en plus sur l'importation (pièces de rechange, machines-outils, etc.). JC- 439 : Etablissement de la pre… A la suite de ces affrontements, la répression contre les islamistes radicaux s'accentue en Tunisie. La réaction militaire française devant les agissements tunisiens est extrêmement ferme. Ceci lui permet de remporter un quatrième mandat le 24 octobre 2004, et participe d'une certaine restauration d'une présidence à vie « déguisée », puisqu'il peut désormais conserver le pouvoir jusqu'à l'âge de 80 ans (75 ans + cinq ans de mandat), c'est-à-dire jusqu'en 2014. En 1963, le Néo-Destour adopte alors le régime du parti unique[14]. Début du protectorat français. ». De sociale, la contestation devient politique.Le 13 janvier, Ben Ali annonce des mesures de libéralisation du régime et s'engage à ne pas se représenter en 2014. JC : Fondation de Carthage par des colons phéniciens, conduits par la Reine Didon, ou Elyssa. Le 7 novembre 1987, Zine el-Abidine Ben Ali dépose le président Bourguiba pour sénilité et prend en main les destinées du pays à l'issue d'un « coup d'État médical » unique dans les annales du monde arabe. Il se consacre alors à la mise en application de son programme économique et social, fort du soutien total de Bourguiba mais en l'absence de toute forme de contrôle et sans avoir à rendre des comptes. La Tunisie, en 1956, devient un pays indépendant après avoirconnu le protectorat français de 1881 à 1956. Bien que l'islam reste la religion d'État (le président doit par exemple être de religion musulmane), le pouvoir des chefs religieux est grandement réduit. Gérald Darmanin, l'histoire de l'homme par qui le scandale arrive, Dix séries géniales dont vous n'avez (sans doute) jamais entendu parler. Dès ses origines, le théâtre tunisien s’est voulu missionnaire et s’est assumé comme tel jusqu’aujourd’hui. Il a annoncé que son parti ne présenterait pas de candidat à la prochaine élection présidentielle. Bourguiba limoge le Premier ministre Mohamed Mzali et le remplace par Rachid Sfar, ministre des Finances et de l'Économie, pour rétablir les équilibres économico-financiers. Ainsi peut-on distinguer trois périodes en Tunisie : avant l’indépendance, celle de l ’ « Etat hygiéniste gendarme de la santé publique et de la mise en valeur », puis de l’ « Etat-providence colonial » ; après 1956, celle de l’ « Etat-providence national ». La plupart des commentateurs définissent les causes de la proclamation de la république par la conjonction de plusieurs facteurs dont la défaillance de la dynastie régnante. Mars-avril 1937. Des attaques liées au soutien actif apporté par les Tunisiens à leurs frères de l’Ouest, au nom des liens historiques ancestraux et de la communauté de destin qui liaient les deux peuples. En effet, de 1850 à 1881, la Tunisie est sous domination ottomane. Après cette déclaration, le président quitte le pays par la voie aérienne. L'Histoire : Les expériences de laïcité en terre d'Islam sont rares... Mais il y a eu, après la Turquie, la Tunisie ? Cinq ans plus tard, une nouvelle réforme constitutionnelle ouvre aux dirigeants des partis politiques (en poste depuis au moins 5 ans) la possibilité de se présenter à l’élection présidentielle. Trois facteurs ont entravé le progrès de la Tunisie. Malgré l’accord de 1956 stipulant le transfert du contrôle des frontières, les agressions françaises, à partir de l’Algérie, n’ont guère cessé. Mohamed Charfi : Ce sont effectivement la Turquie et la Tunisie qui sont allées le plus loin dans la voie de la modernisation*, avec les expériences d'Atatürk et de Bourguiba. Entre 2004 et 2006, la vie politique tunisienne est caractérisée par la poursuite de la répression politique : mesures disciplinaires contre le juge Mokhtar Yahyaoui puis contre l'avocat Mohamed Abbou, action répressive contre les administrateurs du site web Tunezine puis contre des internautes de Zarzis, etc. JC). de l’histoire de la Franc-maçonnerie, en Tunisie, des origines, aux premières décennies La Franc-maçonnerie en Tunisie à l’épreuve de la colonisation (1930-1956) Cahiers de la Méditerranée, 72 | 2006 1. du XXe siècle a été, vraisemblablement, dictée par l’état de sa documentation3. Une loi sur les partis politiques est votée en novembre 1988. Ce meurtre ébranle le gouvernement, alors empêtré dans une interminable crise ministérielle. Le gouvernement Bourguiba du 15 avril 1956 est constitué ainsi : Habib Bourguiba (président du Conseil, Affaires étrangères et Défense nationale), Bahi Ladgham (vice-président du Conseil), Mongi Slim (ministre d'État), Taïeb Mehiri (Intérieur), Ahmed Mestiri (Justice), Hédi Nouira (Finances), Ferjani Bel Haj Ammar (Économie nationale), Mahmoud El Materi (Santé publique), Mustapha Filali (Agriculture), Ezzeddine Abassi (Travaux publics), Mahmoud Khiari (PTT), Lamine Chebbi (Éducation nationale), André Barouch (Urbanisme et Habitat), Mohamed Chakroun (Affaires sociales), Béchir Ben Yahmed (Information) et Azzouz Rebaï (Jeunesse et Sport). Afin de combattre l'analphabétisme, dont le taux est encore extrêmement élevé à l'époque, la loi du 4 novembre, destinée à permettre l'avènement d'une « école nouvelle, moderne, unifiée, gratuite et universelle » est promulguée. Enfin, il déclare que son mandat en cours serait le dernier et qu'il quitterait donc le pouvoir en 2014. Le ministre Ahmed Ben Salah est le principal bénéficiaire de la nouvelle orientation adoptée par le régime. Le même jour, M'dhaffer, chargé du Développement administratif, démissionne également de ses fonctions ministérielles ; Morjane démissionne quant à lui du gouvernement le 27 janvier, quelques heures avant un nouveau remaniement. Le Conseil de la République, qui est alors la plus haute instance exécutive du pays, décide officiellement l'abandon de la collectivisation, le 2 septembre 1969[17]. À partir du 18 décembre 2010, le pays fait face à une violente crise sociale, à la suite du suicide d'un jeune chômeur, Mohamed Bouazizi, par immolation à Sidi Bouzid. Bien située à la jonction du bassin oriental et du bassin occidental de la Méditerranée, là où le détroit de Sicile la rend proche de l'Europe (140 km), la Tunisie est également le point de croisement de la seule route terrestre qui unit l'Égypte au Maghreb occidental (Algérie et Maroc), et des pistes caravanières qui… La Tunisie, en 1956, devient un pays indépendant après avoir connu le protectorat français de 1881 à 1956[1]. Le 13 janvier 2011 à 20 h, après l'annonce d'un évènement urgent, le président Zine el-Abidine Ben Ali fait un discours retransmis sur la chaîne télévisée Tunisie 7 ; c'est l'une des rares fois où il parle en arabe dialectal. Un système autocratique est ainsi né. Mohamed Charfi : Ce sont effectivement la Turquie et la Tunisie qui sont allées le plus loin dans la voie de la modernisation, avec les expériences d’Atatürk et de Bourguiba. Plusieurs partis politiques sont alors légalisés. Toutefois, si le souverain dispose de ce pouvoir, encore faut-il que les circonstances le lui permettent. L’irruption du théâtre moderne en Tunisie est en effet corollaire du mouvement réformiste qui a empreint le pays dès la seconde moitié du XIXe siècle. Quelques jours après, d'autres manifestations violentes demandent le départ de Ghannouchi et de son gouvernement ainsi que la dissolution du RCD. Rapidement, la vague de protestation de jeunes chômeurs gagne d'autres villes dans l'intérieur du pays. Le mouvement de contestation s'étend à l'ensemble de la Tunisie. Synda Tajine et Monia Ben Hamadi, « Tunisie - Manifestations du 9 avril : Le régime policier marque un retour fracassant ! Elle permet d'aborder frontalement, avec force sources, la statue érigée à la gloire de Bourguiba. Mais elle s’inscrit au-delà pour couvrir l’histoire du territoire tunisien depuis la période préhistorique du Capsien et la civilisation antique des Puniques, avant que le territoire ne passe sous la domination des Romains, des Vandales puis des Byzantins. Noureddine Hlaoui, « La Tunisie humiliée par ses enfants salafistes ». Plusieurs crises sécuritaires se succèdent alors, avec des manifestations qui dégénèrent le 9 avril[21] et le 26 novembre 2012, mais aussi avec l'attaque de l'ambassade américaine et de l'école américaine par des salafistes le 14 septembre[22]. Habib Bourguiba, rentré d'exil, est Premier ministre. L'entrée de la Tunisie en démocratie libère l'histoire, la grande et la petite. « Tunisie : le vote de la Constitution, mode d'emploi en 4 points ». Après de nombreux remous, la Constitution est finalement adoptée le 26 janvier 2014 et Mehdi Jomaa, jusqu'alors ministre de l'Industrie, est chargé de former le nouveau gouvernement, qui est intronisé le 29 janvier. Dans ce contexte, le pouvoir semble souffler le chaud et le froid sur le processus de démocratisation. L’histoire du théâtre tunisien est indissociable de celle des origines du modernisme tunisien. Dans Histoire de la Tunisie contemporaine de Ferry à Bourguiba, 1881-1956, Jean-François Martin, développe l'histoire de la Tunisie des origines du protectorat à l'indépendance. L'indépendance monétaire est réalisée, le 19 septembre 1958, par l'instauration de la Banque centrale de Tunisie, et, le 18 octobre, par la création du dinar tunisien. 3 mars : le président par intérim Foued Mebazaa annonce l'élection, le 24 juillet, d'une Assemblée constituante. L'ancien président Habib Bourguiba décède le 6 avril. Isabelle Mandraud, « Mort de l'opposant tunisien Chokri Belaïd : « On a assassiné un démocrate » ». La succession au pouvoir s'opère dans le cadre apparent de la légalité constitutionnelle et de façon pacifique. Habib Bourguiba fonde le Néo-Destour. Il trouve refuge en Arabie saoudite.Le 17, le Premier ministre sortant, Mohamed Ghannouchi, forme un gouvernement d'union nationale comprenant des personnalités de l'opposition, rapidement contesté dans la rue.Le 27, les principaux caciques de l'ancien régime sont débarqués du gouvernement sous la pression de manifestants qui campent depuis plusieurs nuits sous les fenêtres du Premier ministre.Le 20, le gouvernement de transition adopte un projet de loi d'amnistie générale.Le 30, Rached Ghannouchi, chef du parti islamiste Ennahda, en exil depuis 20 ans, rentre au pays. « Officiel – Le gouvernement Jomâa obtient la confiance de l’ANC ». L'ouvrage entame son sujet sur une présentation de la situation précoloniale du pays (I.). Répondant à ces accusations, Jomaa déclare qu'il ne dispose pas d’un programme détaillé mais que plusieurs points sont importants pour lui : l'organisation d'élections transparentes, la sortie de la crise économique, la création d'emplois, la révision des nominations effectuées par les précédents cabinets, la dissolution des Ligues de protection de la révolution ainsi que la lutte contre la corruption[32]. Etat d’urgence pour lutter contre le mouvement anticolonial. 22 novembre : Mustapha Ben Jaafar, dirigeant du parti de gauche Ettakatol est élu président de l'Assemblée constituante. La contestation contre Ennahdha culmine alors que le renversement en Égypte du président islamiste Mohamed Morsi quelques jours plus tôt, le 3 juillet, fait prendre conscience au parti qu'il joue sa survie politique.
Jul Santchelita Télécharger Mp3, Speed J Saumur, Antoine Bertrand Bébé, On Ne Vit Que Deux Fois Distribution,