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colossiens commentaire biblique

30.12.2020, , 0

Il est nécessaire que, de bonne heure, la volonté soit brisée. La miséricorde est la compassion du cœur que l’on éprouve pour les faibles, les souffrants, les malheureux, et même les coupables. combien cette exhortation est de saison pour nous, dans ces temps de relâchement et de poursuite des choses terrestres! Commentaire concis Matthew Henry Les commentaires concis de Matthew Henry donnent un aperçu exhaustif de chaque texte de la Bible et proposent des conseils pratiques aux chrétiens en vue d’une application pratique. Ici, dans les Colossiens, nous ne trouvons pas ces préceptes, mais l’esprit dans lequel les pères ont, en les appliquant, à agir envers leurs enfants, un esprit de sagesse et d’amour, semblable à celui avec lequel Dieu, notre Père, nous traite aussi. S’il se montre plein de tendresse et de compassion pour ceux qui sont dans une condition malheureuse, abaissés et méprisés, cette condition ne peut le faire passer par-dessus l’injustice. Morts avec Christ, et ainsi en ayant fini avec les ordonnances se rapportant à une vie terrestre; mais ressuscités avec Christ, et étant entrés ainsi dans une autre vie, qui n’est pas celle de la terre, et qui a ses objets dans une autre sphère que celle d’ici-bas. 1-8 Les Colossiens … Nous sommes donc exhortés à ce que cette parole «demeure richement» en nous, afin que notre cœur possède tout ce qui dans les Écritures est l’expression de Christ. Lui-même estime la pite de la veuve, et un verre d’eau froide donné à un petit. Par exemple, le chrétien, le nouvel homme, possède l’intelligence qui lui fait trouver Christ partout dans l’Ancien Testament, en type ou prophétiquement, tandis que les justes de ce temps-là n’y voyaient que l’histoire de certains personnages, ou des ordonnances et des rites religieux. Heureux ces enfants qui marchent dans l’obéissance. Le nouvel homme, sa vie, la vie de Christ, est la seule où nous soyons reconnus de Dieu, soit en haut, soit sur la terre. Vient maintenant l’exhortation adressée aux enfants et aux pères (v. 20, 21). «Occupe-toi de ces choses; sois-y tout entier» disait Paul à Timothée par rapport à ce qui concernait son ministère. La prière et la conduite. Colossiens et Philémon [Broché] Titre original : The MacArthur New Testament Commentary – Colossians and Philemon. La plénitude de Christ suffit à tous vos besoins. Il n’y a pas de milieu, c’est ou Christ ou la chair. S’ils pouvaient recouvrer leur liberté, ils devaient en profiter, sinon, ne pas se mettre en peine de leur basse condition, puisqu’elle était pour eux une occasion de servir le Seigneur (le Maître) Christ. Lui, qui ne rendait pas l’outrage quand on l’outrageait, et qui était la vérité même. Il est selon sa pensée que les enfants obéissent, c’est pourquoi ils doivent le faire. Il est touchant de voir comment l’apôtre, par l’Esprit Saint, encourage les saints qui se trouvaient dans cette triste et malheureuse condition. Mais rappelons-nous que c’est l’expérience que nous aurons faite en la présence de Dieu, de son amour, de ses soins, de sa sollicitude constante pour nous, qui nous rendra capables d’exhorter. (v. 23) — Ainsi, agissant pour le Seigneur et non en vue des hommes, ils pouvaient tout faire de bon cœur, même si leur service était pénible, dur, ou encore répugnant. Il a revêtu le nouvel homme, non pas il doit le revêtir. ; 1 Tim. Soyez le premier à donner votre avis ! Or ici nous avons: «Obéissez à vos parents». Nul motif, nul exemple, comme en Éph. C’est parce que, selon le dessein de l’Esprit dans cette épître, tout est rapporté à Christ. «Cherchons les choses qui sont en haut, pensons aux choses qui sont en haut», et ces choses de la terre nous paraîtront ce qu’elles sont toujours, un néant, des ordures. 14:14-16, que la prière, le chant et l’action de grâces, produits par l’Esprit et exprimés avec intelligence — une intelligence spirituelle — sont destinés, dans l’assemblée, à édifier les autres. Mais quand la vie est ainsi réglée par le fait que Jésus en est l’objet et le but, lui, le Saint et le Véritable, quand on réalise que lui vit en nous, de sorte que tout se fait en vue de lui, alors aussi, dans la conscience de son approbation et la joie de sa présence, on rend «grâces par lui à Dieu le Père», parce que rien ne gêne notre relation avec ce Dieu, notre Père, à qui nous avons été amenés. Elles sont incompatibles avec la vie de Christ qui est la nôtre; faisons-y une sérieuse attention et veillons, pour que ces manifestations du vieil homme ne se produisent pas. Le chrétien a à réaliser cette nouvelle vie dans sa marche, et pour cela suivre l’exhortation contenue dans les versets suivants: «Renoncez, etc.». Nous ne trouvons pas l’expression «le nouvel homme» dans l’épître aux Romains, parce qu’il s’agit là de notre mort avec Christ. Ensuite, leur humble condition ne comportait pas qu’ils eussent aucun héritage terrestre. Le bonheur dont notre âme est alors remplie se communique à d’autres, et on est à l’unisson pour chanter à Dieu, pour le louer et le bénir. Table des matières : 1 Colossiens 1 v. 1 à 11. «Si Christ est reconnu, la famille est un précieux foyer de douces affections, où le cœur est élevé dans les liens que Dieu lui-même a formés, et qui, en nourrissant les affections, préservent des passions et de la volonté propre». Le nouvel homme est créé; c’est une œuvre de Dieu dans l’âme. Toutes leurs responsabilités et leurs motifs d’action étaient ainsi transformés, et là aussi ils trouvaient leur encouragement et leur consolation. C’est donc une vie spirituelle, céleste, impérissable, la vie de Christ, caractères qui la séparent nettement et absolument des choses de la terre. C’est une préparation salutaire pour le reste de leur vie. «Je vous donne ma paix», nous a dit Jésus (Jean 14:27). Ces choses qui sont en haut sont tous les biens et les privilèges célestes qui actuellement et en espérance sont à nous en Christ et par lui, ces biens, ces trésors spirituels de grâce et d’amour dont il est la source et le centre. Ce n’est pas qu’il se renouvelle constamment: il est renouvelé. Nous arrivons maintenant aux devoirs des esclaves envers leurs «maîtres selon la chair». Ce mot s’applique aussi bien au désir de s’emparer de quelque chose contrairement à l’intégrité des mœurs (voyez 1 Thess. Commentaire biblique de Colossiens 3.1 Chapitre 3 1 à 17 La vie nouvelle. Ainsi ces deux épîtres se complètent d'une manière remarquable. L'épître aux Colossiens le montre comme venant de traverser le Jourdain. Nous voulons ici lui exprimer notre reconnaissance. (v. 4) — Mais cette vie n’est pas destinée à être toujours cachée. Ils avaient à se soumettre sans murmures, sans raisonnements, en se disant: C’est pour le Seigneur qui m’a aimé, à qui j’appartiens, dont je suis l’affranchi. Nous avons à suivre ses traces et à marcher comme lui dans la vérité en toutes choses (1 Pierre 2:21-24; Matt. Ce qu’ils faisaient, ils étaient obligés de le faire. Mais la seconde partie du motif dont nous parlons est que nous avons une autre vie, la vie de Christ lui-même. À l’enseignement mutuel se joint l’exhortation: «Vous exhortant l’un l’autre», trouvons-nous dans cette même épître. 18 à 25 ; 4. Pages : 176. Il s’agit de l’ordre normal dans la famille chrétienne. Il a dit lui-même: «La gloire que tu m’as donnée, moi, je la leur ai donnée» (Jean 17:22). 6 Colossiens 3 v. 8 à 17. Dieu vous a parfaitement équipés pour que vous soyez épanouis en lui ! Le Sauveur ne veut pas que notre cœur soit troublé, mais que sa paix y règne! Le v. 1 du chap. Merveilleuse condition que ce renouvellement en connaissance de Dieu, de sa nature, de Christ, et de notre participation morale à cette nature! INTRODUCTION À L’ÉPÎTRE AUX COLOSSIENS(1 Co 1:30. 19:3; Deut. Remarquons la suite bien nécessaire de l’exhortation: «Ne vous aigrissez point contre elles». « Paul, apôtre (ou envoyé) duChrist Jésus, par la volonté de Dieu ». Il est une chose toute nouvelle; ce qu’il est comporte une intelligence de ce qu’est la nature de Dieu, moralement parlant. En premier lieu, ces pauvres esclaves n’avaient droit, de la part du monde, à aucune récompense. Nos devoirs sont envers le Seigneur; leur accomplissement est indépendant de ce que sont ou font les autres. Ce tempérament était notamment marqué « par une tendance au mysticisme e… Colossiens 4. De quelle joie, de quelle paix, de quel bonheur est remplie l’âme qui a conscience de la vie qu’elle a en Christ! De même que celle-ci, elle fut écrite de Rome où Paul étaitprisonnier, et envoyée par Tychique accompagné d’Onésime qui fut aussi porteurde la lettre à Philémon (Éph. Ainsi, ces épîtres (aux Éphésiens, aux Colossiens, aux Laodicéens) apparaissent bien comme des circulaires destinées à être lues d’une communauté à une autre. Où allons-nous, où espérons-nous nous trouver bientôt? La soumission envers son mari est donc réclamée de la femme. Remarquons que l’on revêt ces qualités dans la conscience que l’on a de la place bénie devant Dieu qu’expriment ces paroles: «Élus de Dieu, saints et bien-aimés». Il voit, chez ses parents, l’amour pour Christ et la soumission à sa parole, et il comprend et respecte l’autorité divine qui lui dit: «Enfants, obéissez en toutes choses». C’est pour lui une folie, ainsi que Festus disait à Paul: «Tu es hors de sens, Paul» (Actes 26:24). Il faut qu’il apprenne à obéir en toutes choses. Dieu l’appelle à une obéissance implicite. Nous trouvons de même, en 2 Pierre 1: «Ajoutez à l’affection fraternelle l’amour». Les épîtres aux Colossiens et aux Éphésiens présentent une étroite correspondance. Ce sont les traits d’une vraie obéissance. Colossiens 3. L’âme qui jouit de la paix du Christ et de toutes les grâces qui découlent pour elle de l’amour de Dieu, et qui a conscience de l’activité constante de cet amour envers elle, est remplie de reconnaissance, déborde d’actions de grâces. «En vous», dans le cœur tout d’abord. N’a-t-il pas l’exemple suprême de Jésus qui, de retour à Nazareth, était, bien qu’il fût le Fils de Dieu, soumis à Joseph et à Marie? 6:6, 11). C’est la nourriture aussi bien que la joie de l’âme; c’est ce qui nous fait croître et nous fortifie pour l’action selon la vie de Dieu. (v. 12) — «Revêtez-vous donc»; ici commence l’application pratique d’avoir «revêtu le nouvel homme». Voir tous les enseignements bibliques → ... Ephésiens Philippiens Colossiens. “Il n’y a là ni Grec ni Juif, ni circoncis ni incirconcis, ni barbare ni Scythe, ni esclave ni libre ; mais Christ est tout et en tous.” (Colossiens 3:11) Lecture : Col. 1.1 Sondez les Écritures. texte : Épître aux Colossiens, 3 / 1-17 (trad. L’exhortation ne prévient pas seulement d’un danger à éviter, elle ne montre pas seulement une fausse route d’où il faut sortir, elle a aussi et surtout pour objet d’encourager l’âme, de peur que se laissant abattre, elle ne perde sa confiance et ne donne prise à l’ennemi; elle l’encourage aussi à être ferme et à marcher avec joie dans les sentiers de Dieu, malgré les obstacles et l’opposition du monde. Dans son corps aussi, elle est exposée à bien des souffrances qui peuvent agir sur son humeur. Editeur : BLF EDITIONS. Épître aux Colossiens . «Bienheureux ceux qui» — jouissant de cette paix — «la procurent et la répandent autour d’eux, comme «fils» du Dieu de paix! Mais comme la relation existe, même là où le christianisme réel, du cœur, ne se trouve pas, l’obligation de l’obéissance subsiste dans toute sa force partout où il y a enfants et parents. Maris, ayez soin que rien ne vous aigrisse contre elles; traitez, supportez et soutenez avec amour ce vase plus faible. L’Ancien Testament insiste en plusieurs passages sur ce devoir des enfants envers leur mère (Lév. Ah! Ces actions de grâces envers Dieu, le Père, par l’amour duquel nous avons été délivrés et reçus et introduits dans le royaume du Fils de son amour, ces actions de grâces pour la vie de Christ qui nous a été communiquée et dont nous vivons au milieu des circonstances de notre existence terrestre, ces actions de grâces montent à notre Dieu et Père, par Jésus qui les lui présente avec tout le parfum exquis de sa Personne adorable. Mais, de la part de leur Maître céleste, ils devaient recevoir une récompense et un héritage. Elles décrivent toutes deux, comme nulle autre dans le Nouveau Testament, les privilèges et les bénédictions de l'Assemblée de Dieu. La ville de Colosses a été détruite par un tremblement de terre au début de l'an 60. Régnant dans nos cœurs, elle présidera aussi à nos relations mutuelles et écartera toute aigreur, toute animosité. Or le nouvel homme «est renouvelé en connaissance»; il a ce qui n’avait pas été auparavant dans l’homme, l’intelligence de Dieu et des choses divines.

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